collines sauvages semblent s’ériger en terre d'asile. et la sueur au front, les mains moites, l’ambition cramponnée ; la terre et la poussière les accueillent, car tous, sont les laboureurs de cet enfer.(...)
ville inventée - état du wyoming, city-sombre ouest américain époque actuelle. réservé à un public mature et avisé (-16). un rp par mois, aucun minimum de ligne, tw obligatoires.
NOUVEAUTÉS
01.09 - nouvelle maj informations disponibles par ici. - dixième version installée par aeroplvne. - summer event retrouvez tous les détails par ici.
l'univers dictât de la pénombre, quand elle s'assoit à cette table. poussant soupir d'exigences à ne pas louper. ici résonnent les ultimes à ne pas manquer afin d'apprendre et d'entrevoir ce qui pourra être jouer. regrouper en esquisses, contexte devient louange à chanter tandis que les annexes se morfondent dans le néant de cette cavalcade inachevée.
aide à la création entre limbes et errances, âmes cherchant une réponse, un lien, contact avec la moindre parcelle d'humanité. invités d'un nouveau monde ou dédoublement, ils trouveront ici réponses à tous leurs songes éternels.
le monde du dehors cavalcade amoureuse, s'émancipent ici les fantômes qui rejoindront bientôt nos limbes chéries. offrande de questionnement attendant réponses sous couperet de jovialité. esquisses de faire connaitre notre havre de paix afin qu'ils se remplisse et resplendisse. n'hésitez pas, laissez vous tenter.
les pré-liens trou béant s'armant de cavalcades. quand les idées ne sont pas brimées mais dévoilées afin d'être jouer. affres attendus, liens irrésolus. la pénombre s'installe quand la lueur s'éteint, le contraire s'invoque jusqu'au trépas. idées ou non marquées, là sont déposés ce que les envieux ont envie de jouer.
les premiers pas édulcorée des prémices se languissent. dans l'attente d'y lire les présentations des âmes pavanant leur chrome dans cette cité. non loin demeure là les divers bottins regroupant listes diverses et variées. chacun y dépose sa patte, fait de la place pour s'y sentir en paix et venir, qui sait, y construire un univers tout entier.
la gestion tisser les liens, continuer d'enrichir les faits grâce au feuillet mis à disposition pour vous en décorer. distiller dans les recherches si vous avez des idées. qu'importe, elles seront lues avec le sourire, peut être même jouer. brumeuse d'archiver vos écrits afin que l'ordre continue, à bout de souffle, de régner.
au nord affres des bordures où les limites se dessinent à peine. nature à foison, devant yeux ébahis où seule elle est le maitre de cette ineptie. reposent en cacophonie, à la lisière d'un monde, les terres hostiles de la vallée. habitations se veulent perfides car ici, les maitres des lieux sont sans vergogne. se clament propriétaires alors que mère nature en est la seule gagnante.
au sud échaude les pensées. là, à l'horizon masqué par le lac s'étendant à milles pieds. fraicheur permissive s'assoit quand la chaleur de l'été brûle les dermes. ébullition noctambule, envahit par les touristes lors de la pleine saison. mais ne pas s'y m'éprendre, elle est bercée par une fausse accalmie. protégée de toute part par ceux qui veulent la voir encore se maintenir en vie.
au centre louanges d'étalage. à la lisière des frontières tracées, se mélangeant à la rythmie infernale d'une ville scindée en deux. l'histoire demeure, en parcimonie, encore témoin des décennies à ne pas vouloir changer. mais l'avenir se languit, démontre déjà son pouvoir. rien ne reste éternel, pas même colchester.
à l'est dénote paysage aux deux âmes scindées. scrutant poussière charbonnée tandis que de l'autre côté du fleuve, s'étend les logements aux longues voies sécurisant les enfants. et pour les séparer, le fleuve s'écoulant au rythme des saisons. le quartier résidentiel est un véritable havre de paix, quand il n'est pas témoin de la cacophonie des ouvriers.
à l'ouest et parfois, la brume s'épaissit comme si cet endroit ne faisait point partie du temps. étalage de pauvreté s'amasse, étire ses longs bras cajoleurs. d'un premier terrain vague où caravanes se multiplient au fil du temps tandis qu'à l'horizon, le lieu se borde de la forêt et de vastes canyons réputés. les touristes s'y perdent et détourne le regard fasse à temps de laisser aller.
quartier moderne en bordure de ville, cette nouvelle entité que le maire a décidé de promouvoir comme le futur de colchester. exemple même de la modernisation imminente des villes reculées, au plus grand désarroi des conservateurs. entre habitations et centre commercial, les grossistes indépendants voient rouge.
aux alentours limites brisées, aux frontières qui ne sont plus que des lignes invisibles à franchir sans égard. l'espace vient à se marteler, encore et encore, ne brimant plus les esprits étriqués. et avant de quitter la ville, la réserve s'étale à leur portée. jusqu'à ce que le monde ne soit plus qu'un verre à moitié rempli de richesse à découvrir.
au delà du possible l'imaginaire ne connait point de limite. s'abreuve des uns et des autres. vouloir revivre un instant grâce aux flashbacks si précieux dans le temps. et si ce monde n'est pas assez grand pour contenir vos idées, alors elles s'évaderont dans le et si jusqu'à ce qu'elles trépassent non loin des one shot. cacophonie solitaire, instant à écrire et lui donner vie.
les portables perfidies d'écran lumineux ayant parer l'endroit. à ne pas y louper, seront regroupés ici les conversations instantanées échangées. loin de la nature offrant bienséance de s'y épancher, même la vallée n'a pu s'y résoudre. la nouvelle technologie y a fait son entrée et ne pourra disparaitre en un claquement de doigts.
les instagrams effluves martelées en couleur, dispense ici les photographies qu'ils ont bien voulu partager. de belles plaines à porter de vue, entamer par lueur scindée d'un soleil étincelant. de quoi faire rêver. ou bien faciès songeur, au gré d'un sourire effacé. la beauté se pare de milles délices, s'exposent avant d'être adorer. ou détester.
mee nouvelle sensation auprès de la communauté, l'application rassemblant des générations autour d'un verre. rencontres improbables de ceux qui n'auraient jamais su se croiser, échanges éphémères ou pour la vie, tout peut démarrer ici si ils le choisissent, via un simple geste, et quelques premiers mots.
la détente pause salvatrice, entre deux rodéos et une horde de touriste. le flood s'expose aux plus bavards, devient plage de sable après une longue journée de labeur. mais n'en démord pas les jeux qui sauront satisfaire les plus curieux. au delà des heures tournant, venir s'y précipiter, s'offusquer d'avoir perdu, se réjouir d'avoir gagner.
la création misères d'étoffes parafant les limbes. images calfeutrées, univers étiolés. s'exposent ici les créations faisant chavirer nos pupilles. quand les nuances saupoudrent les abysses pour s'y morfondre les yeux fermés, parfois à souhait. images scindées aidant à l'imaginaire, scrutant cieux à l'odeur d'éther.
BOTTOM OF THE RIVER - Forum administré par maaelstrom, aeroplvne, sil et schizo. Les designs, codes et contenus sont la propriété de l'équipe administrative (sauf indication contraire). Design et CSS optimisés sous Google Chrome.